« Les restes carbonisés de Pedro, un policier, sont
retrouvés dans une voiture incendiée. Cette découverte déclenche une enquête
sur un réseau de relations toxiques, de violences et de scandales sexuels
impliquant Pedro et deux autres agents. » Voila comment Google décrit Dévoré
par les flammes.
Je ne sais pas trop ce qu’est une relation toxique. Comme
ils disent, c’est « issu de faits réels » (et c’est la troisième fois
de la semaine que je dis que ça me gonfle) et ça semble tout excuser.
Je traduis pour mes aimables lecteurs : la coupable est
vraisemblablement une fliquette salope qui couche avec tout ce qui bouge. Je
présente mes excuses à mes lectrices pour l’utilisation de ce terme qui n’a
pas, a priori, d’équivalent pour les hommes et je ne fais aucun jugement valeur :
chacun couche avec qui il veut, au fond.
Il n’empêche que cette série est très chiante. J’ai craqué
au quatrième épisode, n’arrivant plus à savoir qui se faisait qui, d’autant
que, au premier épisode, tous les hommes se ressemblent : des trentenaires
d’un mètre quatre vingt barbus et sans la moindre surcharge pondérale ce qui
retire toute crédibilité à la chose.
Pourque j’abandonne « ailleurs » que dans le
premier épisode ou au bout de plusieurs saisons, il faut vraiment que ça soit nulle
vu que je suis assez bon public, en général. Mais ces histoires à l’eau de rose
magouillées en intrigues entre flics à fait déborder le vase qui m’a monté au
nez.
Le seul point positif que j’ai vu est peut-être le
personnage de la femme flic qui dirige l’enquête. L'actrice "principale",
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