« La série est centrée sur
un homme marié et heureux, Segev Azulai, dont la vie est bouleversée lorsque sa
femme est tuée dans un mystérieux accident avec délit de fuite à Tel Aviv.
Accablé de chagrin et confus, il recherche les assassins de sa femme, qui ont
fui aux États-Unis. Avec l'aide d'une ex-amante, Naomi Hicks, il découvre des
vérités troublantes sur sa femme bien-aimée et les secrets qu'elle lui a
cachés. » Tout est encore dit par Wikipedia,
ou presque.
C’est une série israélienne. Le personnage principal est
tenu par Lior Raz qui était déjà au centre de plusieurs séries que j’ai vu au
printemps, notamment l’excellent Fauda.
C’est vraiment très bon, sans doute la meilleure série de ce
type que j’ai vue de l’été mais je reste un peu de mauvaise humeur ce qui fait
que je vais rester aux abonnés absents pour ce qui concerne les éloges (d’autant
que c’est mon troisième billet de la journée).
En effet, la première saison est vraiment très bien mais
elle termine sur un « cliffhanger » :
« un type de fin ouverte, laissée en suspens,
afin de créer une forte attente ; plus généralement, c'est aussi tout récit ou
situation suscitant une grande angoisse. Ce type de fin, très fréquent dans les
séries et les feuilletons, suppose une suite. »
Effectivement angoissé (comme on peut l’être à propos de l’avenir
d’un personnage de fiction…), on se précipite chez Google pour savoir quand la
deuxième saison va sortir et on apprend qu’elle a été annulée.
Netflix est parfois très gonflant.
On a abandonné dès le premier épisode… et je serais bien en peine de dire pourquoi ! Peut-être une histoire de musique envahissante et pénible, un truc comme ça…
RépondreSupprimerZ’êtes difficile…
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