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14 janvier 2024

Piégé au bistro !


Comme cette photo l'atteste, ils ont tenté de me poussé dans un concours idiot, au bistro, ce soir. 

J'ai résisté. Sinon le pèse personne n'aurait pas survécu.

Il n'empêche que je suis surtout surpris par les méandres qui nous poussent à faire les cons, même à peu près à jeun, quand on est au comptoir... 

Pour tout vous dire, l'un des nôtres, tenant un peu moins la marée que les gens normaux, c'est-à-dire qu'il commençait à être un peu saoul avec moins d'une demi-douzaine de verres de vin, nous a expliqué que le patron avait de très grosse couilles. Je ne sais pas pourquoi. Pour rigoler, le patron en question a tenu à expliquer qu'elles étaient dans la moyenne et a été cherché ce pèse-personne, pour rigoler.

Cela interpelle. Il est impossible de peser des couilles. Il aurait fallu peser le patron, lui couper les couilles, le peser après et calculer la différence puis peser les couilles pour vérifier les calculs. Je pense qu'il n'aurait pas été d'accord. On s'attache à des petites choses, alors des grosses... 



Cela étant, j'ai diffusé la photo dans Facebook, comme il se doit, et un ami, un vrai, un gros, a répondu avec la photo d'une bascule normale mais je me demande maintenant, si avec ses seulement 120 kilos, il n'est pas un peu malade sans compter que ses pantoufles sont à chier. 

Le patron a rangé sa balance mais je me demande ce qu'il fout avec dans son rade. 


Tout cela me rappelle tout de même quand j'étais si gros  que je ne voyais pas le cadran. J'étais obligé d'en prendre une photo avec mon iPhone, de regarder le poids indiqué puis de soustraire le poids du smartphone en question. 

Il pesait bien 10 kg.

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