02 septembre 2024

Dur transfert !

 


Me voilà arrivé à l’Hôpital Européen Georges Pompidou (quelle idée d’appeler un hôpital comme un machin plein de tuyaux dans Paris et comme un type mort en exercice de maladie ?). La suite du programme : un scanner devra déterminer si l’opération est bien nécessaire ce qui ne laisse, en fait, qu’assez peu de doutes… La dernière fois (en 2021), ils m’avaient mis un patch dans l’aorte. Cette fois, ils vont carrément la remplacer !

Joli coup, non ?

 

Par pure pitié pour le personnel administratif, je ne vais pas raconter les conditions de mon transfert…

Je ne vais pas comparer les deux hôpitaux. Pompidou est ultramoderne. Mais, à Cochin, les prises de courant fonctionnent et il n’y a pas des bouts de sacs poubelles scotchés sur les vitres (pour l’étanchéité, je suppose).



En photo, une copie d'écran de mon BeReal du jour. Il y a un joli divan en plastique. Je suppose que c'est un convertible utilisable par les visiteurs. Ma fenêtre est au dessus de la verrière surplombant le magistral hall. On n'y voit rien.

Il y a deux prises de courants opérationnelles en plus de celle utilisée pour le lit (changements de positions...). Je ne peux donc pas brancher en même temps mon PC, mon iPhone et mon machin pour la VMI.

14 commentaires:

  1. Et vous devez y rester longtemps, dans cette taule, ou bien juste le temps d'être scanné ?

    DG

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    1. Je reste jusqu’à l’opération et le rétablissement qui devrait suivre.
      NJ.

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  2. purée du plastic pour on ne sait quoi dans une fenêtre... c'est du bric et broc.

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  3. Pourvu que les infirmières ne portent pas de sacs plastiques en guise de blouse !
    (On avait vu ça au moment du covid)
    Bon dodo
    Hélène

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  4. Repose toi. Ils ont peut être une multiprise a te prêter ?

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  5. Cet hôpital date de presque 25 ans. Vu ce que sont les constructions modernes, il est bien normal qu'il commence à tomber en ruine...

    DG, expert en architecture

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    1. Je ne suis pas surpris, non plus, par le fait que plein de trucs partent en couilles. Par contre, je suis exaspéré par le fait que les gens soient obligés de bricoler avec du scotch et des bouts de plastics parce qu'il n'y a pas un service de maintenance capable de faire progressivement les réparations.

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  6. Pour les prises de gaz du sang, dans l'artère du poignet, je te confirme, c'est ce qu'il y a de plus douloureux. Seules les infirmières expérimentées savent les faire correctement.

    Par contre, les plastiques aux fenêtres, j'ai pas connu. Courage, encore quelques jours à tenir !

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  7. Bonjour Nicolas !
    Helene

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