Hier, nous avions un dernier repas à l’hosto avant la permission
pour le week-end : le plat principal était un steak de pois chiches. Ils
savent nous motiver pour partir rapidement…
Au moment de passer « à table », mon andouille de colocataire
(voir mon avant dernier billet) m’a dit qu’il avait pu négocier avec le
secrétariat pour que nous soyons encore ensemble, la semaine prochaine car « on
s’entend bien ». Ainsi, « grâce à lui, je ne serai pas avec un
inconnu qui pourrait être désagréable ».
Je ne lui ai pas dit que s’il a l’impression que l’on s’entend
bien, c’est surtout parce que je ne réponds pas à ses âneries. Je suppose que
je suis la seule personne à ne pas l’avoir envoyé chier. J’ai même l’impression,
certes de mauvais fond, que sa propre famille l’a laissé tomber (il n’a trouvé
personne pour le reconduire chez lui et, malgré tout ce qu’il m’avait dit, il n’a
reçu aucune visite de la semaine).
Le retour à maison a été au top. Le taxi m’a livré vers
13h30. J’ai fini la sieste à 15h30… et me suis rendu compte que j’avais oublié
l’ordonnance à l’hôpital ! Il a fallu que je passe près d’une demi-heure
en ligne avant d’obtenir une copie par mail. Avec ce que j’ai, louper les
anticoagulants aurait été dommage…
Un petit café à la Comète. Elle n’a pas changé mais les
après-midis sont vraiment très calmes. Une ambiance de fin du monde.
Un détour par la Jean-Bart et une première bière à l’Aéro.
Tous les futs de bière étaient vides. A la guerre comme à la guerre :
bouteille. Une première stagnation à l’Amandine pour l’apéro avec les copains
(pour me ménager, je n’ai pas tenu leur rythme !). Enfin, fin de soirée à
la Comète. La routine reprend mais, vers 21 heures, j’étais épuisé.
Rien à signaler, donc ! Le faux-filet m’attend à l’Amandine.
Vous avez raison : il ne faut jamais travailler sans faux-filet. Ce serait des coups à se prendre un méchant gadin.
RépondreSupprimerDu coup, j'ai gardé la frite.
SupprimerBordel tu vas devoir supporter l'autre imbécile-je-sais-tout la semaine prochaine , quelle plaie.
RépondreSupprimerBah ! Lui ou un autre...
SupprimerEt alors ? Ça s'est passé comment, ce retour en cellule ? Toujours le même compagnon de chaîne ?
RépondreSupprimerLe peuple a le droit de savoir, bordel !
DG
Ça va venir.
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